Comme a son habitude, je m'etais reveillé bien avant la majorité du groupe d'enfants ici present. Pour la premiere fois, j'allais vers la cafet'
* Je sais que c'est tranquille , mais j'aime vraiment pas ça ... Mon instinct me dit qu'il n'y a pas quelque chose de bon *
Je pris un plateau, ainsi que mon déjeuner, et commença a manger. Je m'arretais d'un coup sec. Une fenetre de l'orphelinat etait ouverte. Je m'approchais prudement et ferma la fenetre. Tout a coup , un coup de poing venu hors de l'orphelinat voulait me frapper en traversant la vitre
* ?!! Avec les débris de verre,je dégusterai !!*
Je m'ecartais sur le coté , contre le mur. J'avais réussis a éviter le coup. Ma rapidité m'avait meme permis a prendre le poignet de mon agresseur. Je souriais
" MONTRE TOI ORDURE "
Je tirais le poignet a l'interieur du refectoire, l'homme rentrais par la fenetre et brisant ainsi la vitre. Elle portait des vetements rouges, assez sombre, avec un écusson ventral.
Hunter se souvenait :
?? : J'vais te creuver avorton !!
Hunter : éssouflé Vas y , essaie toujours saloperie d'assassin
?? : Je t'autorise a m'appeler Kirua.
hunter : et m'autorises tu a te tuer ?!!
Kirua : Si seulement tu en es capable, maintenant met toi en place !! J'ai fais creuvé assez facilement le soit disant Maitre, alors ce n'est pas un gamin comme toi qui vas me stoper
Le flashback s'arreta
†
* Cette signe de croix, ce type fait partis du clan de Kirua.*
A ce moment , je repensais a matthieu
Est ce aussi facile pour toi de tuer ?!
Je pris la parole.
" je ne te connais pas, mais je sais que tu as voulu me tuer avec ce coup. Je ne te ferais aucune represaille du moment que tu disparais et que tu ne remettes plus jamais les pieds ici... Ce qu'a fait Kirua est sans aucun doute le crime le plus odieux depuis quelques génération. Mais dans le fond... Je ne pense pas que ce soit innocement. Je te laisse le choix, soit tu pars...
La pression devenait vite insoutenable et extremement malsaint, J'etais dans ma nouvelle maison, et je ne tolererais aucunement qu'on fasse du mal a quiconque s'y trouvant. La pression etait tel que mon agresseur commençai a pleurer des larmes de sang...
... Soit je t'acheve de sang froid, et dans la douleur la plus extreme.
La personne s'enfuya par la fenetre, terrorisé par mes paroles... La pression redevenait normale. Quant a moi , je reflechissais , contre le mur
* Etais ce une bonne chose de le laisser partir ? Est ce qu'il reviendra ? Plus fort , avec d'autres hommes ? En tout cas, s'il revient, je tiendrais parole... Matthieu, tu as troublé mes pensées... Si c'etait avant, je l'aurais tué sur le coup...*